Jour 5
Cinq jours après la déclaration de l’État d’alarme, les premiers graffitis
sont apparus dans les murs des villes espagnoles. Les citoyens ne voulaient pas
accepter ce changement de leur mode de vie.
En effet, les citoyens ne comprenaient
pas pourquoi devaient-ils rester chez eux. Il n’y avait pas eu de déclaration
de guerre face à un ennemi tangible. La dernière expérience des espagnols avec
un virus s’était très bien passée en 2104. Donc, pourquoi craindre maintenant
le coronavirus ? Tout le monde pensait que le virus Ébola était bien plus dangereux.
Le seul décès de l’époque avait été le chien d’une infirmière contaminée dans
son travail. En plus, ce pauvre animal n’était pas mort de la maladie. Il avait
été tué par la police en preventión d’un possible cas de contagion.