En Espagne, nous vivons un faux débat. Las mairies ont une dette de 36 milliards d’euros. Cependant, ces chiffres ne représentent qu’une partie du problème de la dette espagnole. La dette devrait être de 110 000 millions d’euros si nous faisions les calculs en suivant le pourcentage des villes dans le PIB.
Alors, il faut savoir les raisons d’un débat lancé dans les medias. On utilise un dangereux discours populiste qui vise le salaire des politiciens locaux. En plus, l’état veut fixer leur salaire sans faire attention á la réalité de l’économie de la ville. Dans ce cas-là, il faudrait suivre les règles de salaire des PDG. Si une entreprise n’a pas de dettes, le salaire du PDG est meilleur que celui d’une entreprise endettée.
Donc, les maires de certaines villes, comme Alcobendas et Colmenar Viejo, dans la province de Madrid, n’ont aucune raison pour perdre une partie de leur salaire. En plus, si la ville a fait des efforts pour ne pas avoir de dette, un maire peut perdre ses élections municipales. Cette logique vient de football. Cette année, trois équipes de première division sont descendues en deuxième division. Deux d’entre eux avaient été parfaitement gérés, sans aucune dette. D’autres géants intouchables, comme le Real Madrid et le Football Club Barcelone, sont de vraies ruines économiques. Mais ils jouent dans la « Champions League ». C’est ce qui se passe avec ce projet de salaire des maires. La ville de Madrid, avec 7.430 millions d’euros, est responsable du 18% de la dette de toutes les villes espagnoles. Beaucoup plus loin, arrive en deuxième place, avec 1,178 millions, arrive Barcelone. Loin derrière, Valencia (Valence) avec 977 millions, et Zaragoza (Saragosse), avec 882 millions.
Donc, les maires de certaines villes, comme Alcobendas et Colmenar Viejo, dans la province de Madrid, n’ont aucune raison pour perdre une partie de leur salaire. En plus, si la ville a fait des efforts pour ne pas avoir de dette, un maire peut perdre ses élections municipales. Cette logique vient de football. Cette année, trois équipes de première division sont descendues en deuxième division. Deux d’entre eux avaient été parfaitement gérés, sans aucune dette. D’autres géants intouchables, comme le Real Madrid et le Football Club Barcelone, sont de vraies ruines économiques. Mais ils jouent dans la « Champions League ». C’est ce qui se passe avec ce projet de salaire des maires. La ville de Madrid, avec 7.430 millions d’euros, est responsable du 18% de la dette de toutes les villes espagnoles. Beaucoup plus loin, arrive en deuxième place, avec 1,178 millions, arrive Barcelone. Loin derrière, Valencia (Valence) avec 977 millions, et Zaragoza (Saragosse), avec 882 millions.